20.9.09
Insomnie(s)
27.8.09
Logorrhée.Logorrhée.Logorrhée.
(stop)
25.8.09
Ennui mortel
J'ai un attrayant programme pourtant en sortant mais les heures ne veulent pas défiler jusqu'au magique "16h05". Heure à laquelle ma vie reprend son souffle :
1) je fume ma première cigarette de la journée (et dernière)
2) je sors de ce trou-du-cul du monde qu'est Nanterre
3) je me dirige pour faire des activités qui me donnent raison d'exister.
Cinéma, restau, shopping.
Oui, à 16h05, la vie recommence.
(Jusque 8h30 demain matin)
24.8.09
Le lundi au soleil...
C'est lundi, je suis au travail depuis 1 heure, je m'ennuie déjà, et pourtant, je n'arrive pas à déprimer.
Cette semaine, ILS reviennent. Tous.
Ma petite famille d'abord, qui va de suite réinvestir les lieux, salir le sol de la cuisine, refuser de nettoyer l'évier, avoir la flemme de faire les courses pour 3... On va à nouveau se disputer, se marrer pendant des heures pour des bêtises, sortir au jardin, passer des soirées devant l'ordinateur à ne rien faire... Mais je ne serai plus seule, dans ce grand appart un peu triste. Et puis, s'ils me fatiguent, je peux toujours aller les voir…
Eux, les gens de la fac. Ceux que je considère déjà comme mes amis alors que je ne les connais que depuis quelques mois. On va d'abord fêter nos retrouvailles, puis un anniversaire, puis organiser la rentrée, et retrouver le train-train « cours-ciné-café-Pomme de pain… » Et de temps en temps, brunch dominical ou resto estival. Quel régal !
Et puis, elles. Mes chéries du lycée avec qui je partage beaucoup quand on est ensemble et si peu quand on s’éloigne. Toujours est-il qu’on se retrouve toujours avec la même complicité, les même fous rires et les même discussions…
Il y a aussi cette fille-là, ou plutôt ses textos illimités. Et sa petite voix de bébé au téléphone. Ses coups de gueule (qui s’expriment pas des « Wesh ») et ses coups de cœur (« il est trop chou »). Et nos langues de vipère…
Je vais aussi retrouver ma troupe de joyeux lurons. Mon groupe de théâtre. Ces gens-là que je connais depuis toujours. Qui m’ont vu grandir et qui me considèrent comme leur petite sœur. De nouveaux cours, de nouveaux enseignements, de nouvelles recrues même… Et une petite boule au ventre d’appréhension malgré tout. Je suis impatiente.
Et pour finir, c’est le retour de Léa. Comme le finale d’un feu d’artifice. (J’ai peur de pleurer de joie en la revoyant)
Je crois que j’ai envie d’être d’humeur joyeuse. ♥
" If you want to sing out, sing out
And if you want to be free, be free "
♪♪♪
21.8.09
J'AIME ♥ J'AIME ♥ J'AIME ♥ J'AIME ♥
Léa, reviens.
(stop)
Readers around?
La peur de me livrer aux autres. De me confier à l'état le plus fragile.
Parler de mes problèmes n'a jamais été un handicap. Au contraire et c'est ce qui m'a valu très jeune l'adjectif qualificatif "mature".
Je ne voulais pas l'être. Je veux rester enfant, avoir à nouveau 10 ans et m'amuser à des jeux niais et sans importance.
Je suis fragile au fond. En apparence, je suis heureuse (et je pense sincérement l'être) mais la douleur réapparait parfois.
Et l'ennui fait malheureusement partie des facteurs déclencheurs.
Passion
J'aime pourtant que l'on s'interesse à moi, que l'on me trouve charmante, cultivée, drôle...
J'aime paraître, j'existe grâce au regard des autres.
Je suis superficielle.
Je me rêve séduisante, captivante, attractive, passionnante (à defaut d'être passionnée).
Besoin d'amour.
Je suis une femme-enfant au grand coeur. Vide.
20.8.09
Far away...
Des fonds d'écran à rechercher pour commencer.
Une envie de conte de fées

Il était une fois une jeune étudiante,
Rêveuse,
Gentille,
Coquine,
Douce,
Aimante,
Passionnée,
Naïve,
Mature,
Enfantine.
(stop)